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20 décembre 2005 2 20 /12 /décembre /2005 10:40

 

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   C'est à l'occasion du Millénaire Capétien que l'ainé des capétiens, Alphonse de Bourbon, duc d'Anjou et de Cadix, chef de la Maison de Bourbon, présida un diner organisé par l'Institut de la Maison de Bourbon en l'Abbaye de Villeneuve, près de Nantes, le jeudi 4 juin 1987. Mon épouse et moi avions eus la chance d'être invités et comme toute l'assistance avons été subjugués par le Prince, son regard, sa simplicité, son charisme. Notre seule grande surprise fut de constater qu'il n'y avait pratiquement pas de Vendéens et le lendemain au Mont des Alouettes ( Monsieur Jean Brochard et votre serviteur étaient là) ce fut le déclic: il fallait absolument créer une association en Vendée et une Association Légitimiste.

L'année suivante, le Prince est revenu dans l' Ouest et rencontrant des amis ( Eric du Réau, Henri de Villedieu et Bruno de Lestrange) nous fondions L'A.R.L.V. et le 29 décembre 1988 elle était déclarée à la Préfecture et ses statuts déposés.

Peu de temps après, malheureusement, le 30 janvier 1989, Monseigneur Alphone II, Duc d'Anjou et de Cadix, 25° et 18° Chef et Souverain Grand Maître des Ordres de Saint-Michel et du Saint Esprit, décédait à Beaver Creek dans le Colorado aux Etats Unis, lors de l'ouverture d'une piste de ski.

C'est ainsi que fût créé notre Association.

 

             

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11 décembre 2005 7 11 /12 /décembre /2005 13:59

 

                                           

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4 décembre 2005 7 04 /12 /décembre /2005 11:13
PRIÈRE À Sainte JEANNE
Sainte Jeanne,
Puisque vous êtes sainte, vous avez déjà fait des miracles, vous savez vous y prendre, alors je vais vous demander d'en faire un pour nous.
Non. Parce que vous êtes une grande sainte, je vais vous demander d'en faire dix. Et de très grands, de très miraculeux.
Premièrement, sainte Jeanne, je vais vous demander de faire que tous les Français redeviennent amoureux de la France. Pas de l'Amérique insidieuse, pas de l'Orient fascinant, pas de l'Islam séducteur. De la France, de la doulce France.
Deuxièmement, sainte Jeanne, je vous demanderai de faire que tous les Français inspirent de nouveau à toutes les Françaises l'envie de porter leurs enfants, de les porter jusqu'à leur naissance, d'en accoucher, de les nourrir, de les élever, d'en faire des Français, beaucoup, beaucoup de Français, ce qui nous épargnera, entre autres, la nécessité d'encourager une immigration que nous savons si mal intégrer.
Troisièmement, je voudrais vous demander d'avoir une pensée pour notre belle langue française. Rendez-nous la première partie de la négation: faites que nous disions « je ne vais pas voter oui » et non « jvais pas voter ouais ». Rendez-nous l’accord du participe qui est en train de disparaître. Rendez le subjonctif à encore que et l'indicatif à après que. Rendez-nous les liaisons : « vous-z-aussi » et non pas « vouossi ». Otez la bouillie de certaines bouches contemporaines, surtout celles de beaucoup de jeunes gens et des acteurs en vogue. Faites que nous recommencions tous à dire bonjour et non pas bonjoureu. Essayez de nous épargner les anglicismes et les américanismes, pas seulement dans le vocabulaire, surtout dans les tournures de phrase contre nature que nous inspirent les langues anglo-saxonnes. Quant à ceux qui disent conforter, ou incontournable, ou qui se laissent interpeller au plan de leur vécu, faites que le diable les patafiole. Si j'osais, Jeanne, si j'osais - mais je sais que j'exagère -je vous demanderais timidement de ressusciter aussi, ne serait-ce que sporadiquement, l'imparfait du subjonctif.
Quatrièmement, je vous demande, sainte Jeanne, de faire que les Français redeviennent frondeurs, gouailleurs, indisciplinés, sceptiques, qu'ils ne se laissent plus bourrer le mou ni laver le cerveau, qu'ils sachent distinguer entre une vessie et une lanterne, qu'ils prennent de nouveau un malin plaisir à traverser en dehors des clous, qu'ils se rappellent le vieux dicton picard méfie-te, qu'ils appliquent la méthode périgourdine plus je me regarde, plus je m'attriste, plus je me compare plus je me rassure, qu'ils sachent conclure comme il faut l'adage normand pt-êt' ben qu'oui, pt-êt ben qu'non ! Qu'ils n'oublient pas que dire oui, c'est baisser la tête et que dire non, c'est relever le front.
Cinquième miracle, faites, je vous en supplie, que les Français ne deviennent pas une plèbe irresponsable, soucieuse de ses droits à et non plus de ses devoirs de, perpétuellement assistée donc asservie, et ne connaissant plus que deux catégories : tout ce qui n'est pas interdit est obligatoire et tout ce qui n'est pas obligatoire est interdit. Je voudrais voir les Français non pas libéraux ni libertaires, mais libres. Affranchis. Francs, quoi. Des Français qui seraient redevenus Francs.
Sixième miracle, je vous demande de nous rendre le respect de l'âge. D'abord j'y ai intérêt et puis c'est le respect de l'âge qui caractérise le raffinement du coeur : peu importe si le respecté est une vieille baderne, c'est le respectueux qui gagne à respecter, ou, du moins, à employer les marques extérieures du respect. Que voulez-vous, j'en ai assez de constater qu'avec ma barbe blanche il n'y a que des Noirs à me céder leur place dans le métro ! Je la refuse, d'ailleurs, mais à la longue cela va finir par me rendre raciste, raciste pro-Noir, bien entendu.
À propos de racisme, septième miracle.
Je voudrais voir supprimer de France le racisme puritain, anti-fumeur et anti-buveur, qui s'empare de notre pays. Enfin, c'est affligeant. Vous entrez dans un restaurant et la première question qu'on vous pose, c'est « Fumeur ou Non fumeur ? » Et quand vous dites « Non fumeur », comme moi, vous sentez aussitôt l'approbation du jeune maître d'hôtel. Ensuite, quand vous êtes deux et que vous commandez du vin, il vous demande d'un ton encourageant « Une demi-bouteille ? » et quand vous répondez comme moi « Non, une bouteille entière... pour commencer », le jeune maître d'hôtel cache à peine sa réprobation ou alors il sourit avec indulgence comme devant une plaisanterie de mauvais goût. Bientôt, dans les restaurants, on vous demandera « Buveur ou non buveur » et il y aura un coin réservé pour les parias alcoolos tandis qu'aux tables pour honnêtes gens les sodomites, les pornographes et les drogués triomphants ne boiront que de l'eau. Épargnez-nous cela, sainte Jeanne.
Sainte Jeanne, je voudrais aussi voir l'administration de la justice revenir à des normes humaines. S'il y a conflit entre un employé et un employeur, je ne voudrais pas que l'employé eût gagné d'avance comme le recommande le Syndicat de la magistrature. Si des enfants pervertis par la télévision dénoncent leurs éducateurs pour pratiques sexuelles interdites, je voudrais qu'une enquête sérieuse fût faite. Si un cambrioleur armé s'introduit dans ma maison et que je tire mieux que lui, je ne voudrais pas passer pour un assassin.
Neuvième miracle. Faites, sainte Jeanne, je vous en supplie, que ce ne soit pas seulement le trente-et-un du mois d'août et pas seulement au roi d’Angleterre, que la France puisse se permettre de citer le général Cambronne. Faites que ce soit tous les jours de l'année, et 366 jours les années bissextiles et faites que ce soit à tous les potentats du monde, s'ils nous manquent de respect. J'espère, sainte Jeanne, ne pas vous choquer : vous avez dû en entendre d'autres quand vous commandiez à vos troupiers médiévaux.
Dernier miracle. Sainte Jeanne, donnez-nous une aventure. Une grande et noble aventure. Une aventure à la mesure de la France, comme celle que vous nous aviez donnée à l'époque de la guerre d'Algérie et que nous n'avons pas su apprécier. Faites que nous courions des dangers, que la vie devienne exaltante et dure, que nous oubliions nos comptes en banque, nos livrets de caisse d'épargne, nos chaînes hi fi, nos vacances, notre bougeotte, nos coucheries, nos barbituriques, nos prudhommes, nos normes européennes, notre traintrain planplan, et revenez alors, revenez sainte Jeanne, brandir votre étendard et vous mettre à la tête de ceux qui vous suivront. Il y en aura, sainte Jeanne, il y en aura. Et peut-être plus que nous ne pensons.
Vladimir Volkoff
photo extraite du site
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3 décembre 2005 6 03 /12 /décembre /2005 12:59

 Une vision prophétique de Charles de Foucauld

 

 

 

 

 

“Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l'Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l'esprit ni le cœur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l'étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d'autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu'elle a avec les Français (représentants de l'autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d'elle.

Le sentiment national ou barbaresque s'exaltera dans l'élite instruite : quand elle en trouvera l'occasion, par exemple lors de difficultés de la France au dedans ou au dehors, elle se servira de l'islam comme d'un levier pour soulever la masse ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman indépendant.

L'empire Nord-Ouest-Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d'habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.

Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, œuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime. Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l'un, celui du medhi, il n'y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans.

Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l' engage à subir avec calme son épreuve; " l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération ", disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France.

De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d'apostasie, un renoncement à la foi du medhi...”

 

 


Extrait de la lettre adressée à René Bazin, de l'Académie française
, président de la Corporation des publicistes chrétiens, parue dans le Bulletin du Bureau catholique de presse, n° 5, octobre 1917. Source : archives familiales, famille de René Bazin. JESUS CARITAS—Tamanrasset, par Insalah, via Biskra, Algérie.29 juillet 1916.

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3 décembre 2005 6 03 /12 /décembre /2005 11:44
 

  Nécrologie

 

  Trois fidèles membres de notre association nous ont quittés:

 

 

 

  Odile et Henri Caillemer

 

 

 

   Notre amie Odile Caillemer nous a quitter le lundi 20 décembre 2004 à l’age de 87 ans en sa propriété de Choisy,  commune du Givre ; c’était une fidèle de l’ARLV qui ne cachait pas ses sympathies pour la cause royaliste et légitimiste et la Droite Nationale.

 

  Pendant la guerre elle fut infirmière militaire ce qui lui valut d’être membre de la section des anciens combattants de sa commune ; c’était une mère courage qui se battit pour élever ses enfants à Paris pendant l’occupation et, à « la libération » sortir son  mari, Henri Caille mer, des griffes des rouges de la sinistre Villa Saïd ou le PC torturait les serviteurs de l’État Français.

 

  Après la  mort de celui-ci, en 1981, elle perpétua son souvenir par une présence permanente auprès des habitants du Givre, en particulier très impliquée dans la troupe de théâtre « La Saint-Pierre » qu’elle dirigea pendant de nombreuses années. ; elle aurait été maire durant un  mandat ?

 

  Très inquiète de la situation politico-religieuse de notre pays, elle restait dans l’Espérance, s’oubliant elle même, étant toute à tous, sillonnant, jusqu’à la veille de sa  mort, la commune au  volant de sa légendaire 4L blanche !

 

   La dame de Choisy s’en est allée et tous nos cœurs sont désolés ; son départ nous laisse comme orphelin ; à  son exemple restons dans l’ Espérance .

 

  Nous assurons ses deux fils, Jean-Philippe et Baudouin ainsi que ses trois filles de notre fidélité à son   souvenir !

 

  A bientôt chère Odile sous la bannière du Grand Roi

 

  Voici un extrait de la vie de son époux, dont elle parlait souvent avec amour et admiration

 

 

 

 

 

 

 

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20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 20:35

            A ssociation.Royaliste et Légitimiste  de Vendée

        Siège Social : Le Logis de la Mission

        Saint Martin des Noyers 

               Tel/Fax : 02 51 07 82 06

                                                                  St Martin des Noyers, le 21 novembre 2005

                                                         Chers amis,

                        L’assemblée générale de notre association se déroulera le samedi 10 décembre 2005 à la Ferme Auberge du Moulin Migné, commune de Cheffois (85390).

( Itinéraire: au rond point de Cheffois, suivre le D 949 bis, direction    Mouilleron en Pareds — 750 mètres après le rond point, prendre la petite route à gauche au niveau des pépinières et ensuite suivre le fléchage de l’auberge.)

 v       10h30         Accueil,

                                       v       11h00         A.G. de l' ARLV

-           Rapport moral

-           Rapport financier

-           Prévisions des activités 2006.

                                       v       12H30        Déjeuner  

 v     14h 00     Conférence : ″ Chrétiens et églises de Turquie ″ 

                         avec  projection de diapositives par le Docteur Jean-

                         Claude  Chabrier.(Grand spécialiste des affaires 

                         orientales).  

v     16h00         Bolée du Roy.

Nous vous informons dès ce jour que la Messe pour Louis XVI à Ramberge aura lieu le samedi 21 janvier 2006 à 11 h 00, suivi d’un déjeuner au Mont des Alouettes après recueil devant la stèle.

L'après-midi possibilité d’une évocation ou promenade historique.

Il n’y aura pas d’autre courrier et nous vous demandons de bien noter ce rendez-vous afin de vous inscrire pour le repas avant le 10 janvier 2006.

Comptant sur votre présence, le Bureau vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année et vous offre dès à présent ses meilleurs vœux pour la nouvelle année.

                                                                                                                     Le Bureau

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20 novembre 2005 7 20 /11 /novembre /2005 16:14

                                                                              

                                                                        Vie de l'Association

 Décès:                  Le baron Alain de Larocque –Latour de Lauzon,

 

                                               Rappelé à Dieu, le Dimanche 29 Décembre 2002

 

                                                           au Château de" La Forêt " Saint Julien des Landes,

 

                                                           à l’âge de 59 ans.    

 

                      -  Alain était un ami fidèle: membre de notre association depuis sa création, il s’est 
    dépensé sans compter pour défendre nos idées et il ne ménageait pas ses     
    peines.

 

                    - Alain était un homme serviable: à plusieurs reprises il avait mis sa propriété à   
   notre disposition, soit pour une assemblée générale, une réunion ou un repas, en
  particulier lors de la venue dans l’Ouest des Princes Charles-Gonzalve, duc 
  d’Aquitaine ou le Prince Remy de Bourbon Parme.

 

                     - Alain était un homme cultivé: il était féru d’Histoire et de Droit.

 

                     - Alain était un homme courageux: il a lutté durant de nombreuses années contre 
   sa maladie et ce avec dignité.

 

                     - En un mot, Alain était un homme noble, dans tous les sens du terme.

 

                        Alain, nous ne t’oublierons pas !

 

 

 

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1 septembre 2005 4 01 /09 /septembre /2005 23:00

Le bulletin n° 10 de notre association était entièrement consacré au Mont ses Alouettes.

Vous allez pouvoir le découvrir dans son intégralité.

 

                                                        Le Mont des Alouettes

 

                      Le Mont des Alouettes tient son nom de l’emblème d’une légion gallo-romaine    
                  deJules César, dont les soldats, gaulois ralliés, portaient sur leur casque une        
                  alouette  de bronze aux ailes déployées et qui établit son camp en ces lieux.  

 

                Pendant plus de trois siècles, sept moulins, dont le plus ancien date de 1514, ont tourné sur ce point culminant ( 233 mètres au-dessus du niveau de la mer ) et cette colline, toute flamboyante au printemps de l’or éclatant des genêts et de celui, plus terne, des ajoncs, est devenue un " haut lieu " historique pour les raisons suivantes :

 

    v A partir de 1793, pendant les guerres de Vendée, les moulins servirent de sémaphore, selon la position de leurs ailes. Et quel télégraphe ! Le Mont des Alouettes domine le bassin du fleuve côtier du Lay, et, par les moulins des Justices, de Pouzauges, de Mouilleron en Pareds, par les moulins des bois en Sainte-Cécile, lance ainsi ses ordres à une des quatre armées, l’Armée du Centre.

 

 

 

 

 

 v Le 22 mai 1793, la grande armée catholique et royale se regroupe au Mont des Alouettes à la veille de sa victoire de Fontenay le Comte. ( 25 mars 1793 )

 

 

 

 

 

 v La Restauration elle, pour remercier les Vendéens de leur bravoure, envoya le 6 novembre 1817 le duc d’Angoulême et ce dernier, allant de Bourbon à Cholet, fût acclamé aux Alouettes par une foule accourue de tous les environs. Cet épisode est peu connu par rapport au suivant.

 

  •  v Car le 18 septembre 1823, ce fût au tour de la duchesse d’Angoulême, fille de Louis XVI, de monter aux Alouettes où l’attendaient 15.000 anciens soldats vendéens portant en mains les fourches, fusils et faulx avec lesquels ils avaient remporté tant de victoires. Un grand banquet fût servi auquel assistaient, outre la duchesse d’Angoulême, les préfets de Vendée et du Maine et Loire, le Général de Sapinaud et de nombreux anciens officiers vendéens. Ce fût ce jour là que la duchesse émit le vœu que soit érigée une chapelle destinée à «  perpétuer le souvenir d’une époque à jamais mémorable », suivant les propres termes du procès-verbal.

 

 On a souvent parlé de la présence du général Turreau dans l’escorte de la duchesse…. C’est une rumeur inexacte, probablement due à la présence d’un dénommé Tharreau,    maire de Cholet, dont le nom a été déformé ; le bourreau de la Vendée ne pouvait être présent cette journée puisqu’il est décédé le 15 décembre 1816.

 

v Deux ans plus tard, à la même date, le 18 septembre 1825, la première pierre en fût posée par la vicomtesse de Curzay, chargée par procuration de Son Altesse Madame la Dauphine de France, de la représenter à cette cérémonie, qui eût lieu en présence de toutes les autorités religieuses, civiles et militaires et de celle du dernier généralissime des armées vendéennes, Sapinaud de la Gaubretière. 

                    

On peut retrouver aux archives départementales de la Vendée les plans et devis établis en 1827 par M. Marquet, architecte des Travaux Publics de Paris. «  Cette chapelle sera construite près de la route de Paris à Bourbon-Vendée, à 2.000 mètres environ des Herbiers, sur la montagne des Alouettes, la plus élevée de Vendée, à l’endroit même qu’on avait choisi pour placer la tente de S.A.R. Madame la Dauphine, lorsque cette princesse passa, en 1823, les Vendéens en revue »-«   Ce monument, destiné à rappeler le plus beau jour des Vendéens, servira également de chapelle expiatoire où les fidèles viendront en procession une fois par an ( le 18 septembre, anniversaire du jour où s’y trouva Madame la Dauphine en 1823 ) prier pour les malheureuses victimes de leur dévouement à la Légitimité. » Suivent tous les détails de l’architecture gothique et les devis. C’est un document très intéressant.

 

Le Roi et la duchesse d’Angoulême firent un don très important pour l’érection de cette chapelle. Jusqu’en 1852 ( sauf pendant le règne de Louis Philippe ) le Conseil Général de la Vendée vota des crédits pour l’achèvement et l’entretien de la chapelle.

 

Cette intention de procession annuelle les 18 septembre de chaque année à la chapelle expiatoire n’a malheureusement pas été respectée.

 

 

v   Le 6 juillet 1828, la duchesse de Berry, au cours de son triomphal voyage en Vendée, vint visiter la chapelle et s’y recueillir. Elle décora sur le Mont des Alouettes de nombreux soldats vendéens.

 

Avec la Révolution de 1830, le nouveau Conseil Général de la Vendée déclara ne plus vouloir s’occuper de la Chapelle et exprima même le vœu qu’elle fût détruite. Chargé par le préfet de la Vendée de s’enquérir du prix de sa démolition, Monsieur  Boutillier des Homelles présenta volontairement une somme considérable, si bien que le projet recula et ainsi fût sauvée la chapelle.

 

Inachevée depuis 1830, la chapelle devra attendre un siècle avant que soit envisagé son achèvement. En 1922, la chapelle fût achetée par le maire des Herbiers au Département de la Vendée ( le comte de Bermond d’Auriac ) avec charge de la terminer.

 

 

 

v   Le 25 juillet 1926, une grande manifestation royaliste, organisée par l’Action Française,  y rassembla plus de 60.000 personnes avec comme orateur Léon Daudet. Cette affluence se comprend, car à cette époque les campagnes de l’Action Française contre le libéralisme et la démocratie, contre tout compromis avec ceux-ci coïncidèrent avec les campagnes anti-modernistes qui culminèrent en 1910 dans l’encyclique Pascendi. On mettait à la porte des facultés et des séminaires catholiques les modernistes et Le Sillon de Marc Sangnier était condamné. Malheureusement à Rome une bataille acharnée avait débutée pour mettre à l’index  quelques-uns des livres de Maurras. Le 16 janvier 1914, la Congrégation de l’Index trouva que sept de ses livres ainsi que la Revue de l’Action Française méritaient la censure. Le 29 janvier, Pie X acceptait sa décision, mais se réservait le droit de décider quand le décret serait rendu public. Le pape, bien conscient du paganisme de Maurras, gardait tout de même de la sympathie pour lui et ses turbulents " Camelots ". Pie X mourut peu après et le pape Benoît XV, son successeur en août 1914, eut à s’occuper d’affaires plus urgentes et de plus il pensait que le moment n’était pas choisi de condamner un mouvement nationaliste français.

 

.      Dans les dix années qui suivirent, l’Action Française atteignit l’apogée de son influence dans les milieux catholiques. Les milieux de la jeunesse ( Association Catholique de Jeunesse Française ) étaient séduits par les idées maurrassienne… Si bien que très vite ses dirigeants, dont Georges Bidault, ont fait remonter à Rome la question de réexaminer le sursis laissé aux royalistes. Progressivement, les démocrates chrétiens gagnaient du terrain et l’A.F. se voyait de plus en plus accusée de laisser la Politique prendre le pas sur la religion. A partir du 25 juillet 1926 tout s’est précipité et on peut se demander si cette immense manifestation n’a pas fait peur aux pouvoirs civils et religieux ? Toujours est-il que le 29 décembre 1926, la décision de 1914 était rendue publique et aux livres mis à l’index venaient s’ajouter, sur l’initiative du pape Pie XI, " L’Action Française ". Ceci n’est qu’un bref résumé et j’espère que les membres de notre association qui ont vécu ces événements n’y relèveront pas d’erreurs.

 

 

 

v En juillet 1940, après de nombreuses péripéties, le projet de restauration  envisagé par le docteur Coubard, président du Souvenir Vendéen, échoua. Il revit le jour en 45 et 1953 , mais l’affrontement entre les partisans et les adversaires de la pose de vitraux eut pour résultat une nouvelle mise en sommeil du projet d’achèvement de la chapelle.

 

         

 

v En 1961, soit huit ans plus tard, les plans dressés en 1827 par Monsieur Macquet, architecte des Travaux Publics à Paris, furent retrouvés enfouis dans un dossier des Archives départementales de la Vendée et communiqués à Monseigneur     Cazeaux, Evêque de Luçon. Or  ce dernier , à la suite d’un legs testamentaire, était devenu possesseur de la chapelle. En effet, le comte et la Comtesse de Bermond, demeurant au Château du Landreau, et leur désir testamentaire était que soit procédé à l’achèvement de cette chapelle, respectant en cela  l’engagement de leur légataire, le comte de Bermond d’Auriac, lorsqu’il acheta la chapelle en 1922 au département de la Vendée. Et Monseigneur Cazeaux chargea en quelque sorte le Souvenir Vendéen de mener à bien cette entreprise. Un comité d’honneur fut constitué, présidé par S. Exc. Mgr Cazeaux, comprenant des descendants des principaux Généraux Vendéens, des représentants des quatre départements de la Vendée Militaire, du Comité Directeur du Souvenir Vendéen, ainsi que de nombreuse personnalités religieuses et civiles de la région. De nombreux dons affluèrent et Monsieur Maurice Ferré, architecte diocésain, fut chargé de mener à bien les travaux d’achèvement qui donnèrent à la chapelle la silhouette que nous lui connaissons aujourd’hui.

 

 

v  Le 28 avril 1968, Bénédiction de la Chapelle du Mont des Alouettes : Après un déjeuner réunissant les membres du Souvenir Vendéen, au cours duquel Monsieur Catta, vice-président, prononça un émouvant discours, retraçant les mérites du fondateur du Souvenir Vendéen, le Docteur Charles Coubard, disparu deux ans plus tôt; parlant de la tradition à maintenir et de l’œuvre grandissante du S.V., qui en de nombreux endroits de la Vendée Militaire a soit érigé ou restauré des calvaires ou posé des plaques commémoratives rappellent les combats et les noms des héros, chefs ou soldats victimes de leur foi……. En terminant bien sûr par le monument du jour, la chapelle.

 

 

 

  

 

        1968, c’était l’année de la Foi et à tous ceux qui s’ingénient à démanteler l’église et à vouloir ruiner la Foi, le cri de Paul Barillon résonne encore du haut de cette colline «  Rendez-moi mon Dieu » - REMBARRE !

 

Il termine en rappelant que Mgr Cazeaux, dans son appel pour la restauration de cette chapelle, nous a dit  «  qu’elle s’élèverait comme un signal dressé vers le ciel, enraciné sur notre sol, pour adjurer la Vendée de ne pas oublier son âme et la fidélité  à ce qui fît la noblesse des Géants de 1793: leur foi et leur héroïsme au service de la cause, avant tout religieuse, qu’ils ont défendue. En pleine évolution sociale, agricole et industrielle, la Vendée ne marche pas à reculons, tournée vers le passé. Mais elle ne peut pas ne pas se souvenir de la générosité de ses ancêtres et de ce qui constitue le meilleur du patrimoine qu’ils lui ont légué. »

 

  Ces mots de Mgr Cazeaux auraient dus faire réfléchir les intervenants du colloque international des 24, 25 et 26 avril 2003, qui s’est tenu à La Roche sur Yon " des curés aux entrepreneurs " . La fidélité à la Foi n’aurait pas, loin de là, entravé le " miracle économique " et les usines se seraient remplies, mais les vocations ne se seraient pas effondrées ni les églises vidées…..

 

     Dans l’après midi et bien avant l’heure de la bénédiction une foule immense, parents et enfants, affluent aux abords de la chapelle et du calvaire. Monsieur Jean Brochard, à l’intérieur de la chapelle, clamait l’évocation des nombreux souvenirs du passé historique des lieux, sa voix dominant la tempête pour animer la foule qui venait visiter la chapelle.

 

                 Un peu avant 16 h arrivaient les évêques: Mgr Cazeaux, ancien évêque de Luçon; Mgr Paty, évêque de Luçon; Mgr Vion, évêque de Poitiers; Mgr Mazerat, évêque d’ Angers; Mgr Vial, de Nantes, représenté par Mgr Pihour, vicaire général, suivis de nombreux membres du Clergé.

 

                 Aux premiers rangs de l’assistance, les membres du comité directeur du Souvenir Vendéen.

 

                 Mgr Paty a parcouru et bénit l’intérieur de la chapelle, puis en a fait le tour, aspergeant d ‘eau bénite les murs du sanctuaire avant de prononcer l’oraison liturgique.

 

                 Ensuite, après une procession chantant " Vive Jésus, Vive sa Croix " pour descendre plus bas dans la prairie où a été dressé l’autel, 3.000 personnes environ vont assister à la messe célébrée par Mgr Vion.

 

                  Les chroniqueurs régionaux de l’époque ont écrits des lignes élogieuses de cette journée , acte de foi de la Vendée fidèle…. Mots inscrits sur le linteau en granit qui surmonte le portail de la chapelle.

 

Quinze ans plus tard, le 22 mai 1993, une foule cinq fois plus grande, est venue de la France entière commémorer ces évènements….  Et signe des temps, que de difficultés pour pouvoir obtenir " une messe de toujours " celle que suivait Louis XVI,   et les chroniqueurs ont raillé cette journée inoubliable.

 

 

 

v Le vendredi 12 juillet 1968, Consécration de l’Autel de la Chapelle du Mont des Alouettes. C’est Monsieur le Chanoine Marcel Retailleau, vicaire général, délégué

 

       par Mgr Paty, qui est venu à 18 h pour accomplir les rites de la consécration de

 

l’autel de la chapelle. Un public fervent était présent et assista ensuite à la sainte messe qui fut célébrée à la mémoire du Docteur Charles Coubard et des défunts de l’association du S.V.

 

  La chapelle a été consacrée à la Vierge Marie, sous le vocable de Notre-Dame de    la Vendée

 

 

 

 

 

v Le 19 novembre 1972, le Prince Jacques Henri de Bourbon, duc d’Anjou et de Ségovie, y prononça une importante déclaration à l’occasion de son voyage dans cette région.

 

« En ce haut lieu qui rayonne sur la Vendée et la France tout entière, je pense à la Nation toujours déchirée par les séquelles de la Révolution contre laquelle ont lutté avec honneur les vaillants fils de l’Ouest et tant d’autres Français. La véritable unité de la Nation ne se fera que par un retour à la foi de ses ancêtres et à la royauté capétienne qui permettront le libre épanouissement des communautés composant le corps social : celui-ci doit être délivré de toutes les pollutions mortelles que sont le laïcisme, le socialisme, l’étatisme, les partis, l’immoralité et l’argent tout puissant. Successeur de Clovis, de Charlemagne, de Saint Louis et de Louis XIV, je persiste à croire en la résurrection de la France. Je prie Dieu qu’il hâte le moment où elle reviendra à tout ce qui a fait son " ancienne gloire ", afin qu’elle soit un modèle pour une Europe en train de se bâtir et qu’elle répande ainsi sur le monde la vérité, la justice, la bonté, l ‘amour dans la lumière. Que les Français s’unissent dans cette attente pour défendre les libertés essentielles, fondement de toute société civilisée. Que chacun s’active dans son propre entourage à faire connaître les principes salvateurs et à pacifier les mœurs. Vive la Vendée ! Vive la France ! » 

 

                                                                                      JACQUES-HENRI.

 

 

 

v Le 5 juin 1987, son fils le Prince Alphonse de Bourbon, duc d’Anjou et de Cadix, présida une cérémonie au Mont des Alouettes dans le cadre des manifestations du Millénaire Capétien.

 

      « Dans ce haut lieu de la résistance catholique et royale, je salue, avec infiniment d’émotion la mémoire de tous ceux qui ont souffert de leur fidélité à leurs nobles idéaux. Je suis heureux de venir ici à la suite de mon père pour manifester ainsi à tous l’intérêt que les aînés de la Maison de Bourbon portent à l’histoire de la Vendée et aux combattants de l’Ouest. Je souhaite que les Français n’oublient jamais la tragédie qu’a connue ce pays, et fasse la divine Providence qu’une telle tragédie ne se renouvelle jamais pour cette génération comme pour les futures. Que Dieu protège la France ! »                          ALPHONSE.

 

 

 

v Le 18 décembre 1992, l’Association Royaliste et Légitimiste de Vendée ( A.R.L.V)., créée le 29 décembre 1988, achète à Monsieur et Madame Henri Godard une parcelle de terrain d’une contenance de 8 ares, sise près de la chapelle, avec un droit de passage pour accéder à la RN 160. Comme le disait alors notre ami Jean Brochard : " Ce sont les premières boisselées du Roi ". Début 1993 la stèle, conçue et dessinée par votre serviteur et sculptée par Monsieur Noël de Mauléon a été érigée grâce aux dons de nombreux souscripteurs de la France entière.

 

 

 

v Le 22 mai 1993, Grand rassemblement royaliste….. que vous avez tous vécus. Environ 15.000 personnes réunies autour de Madame, la duchesse d’Anjou et de Ségovie et du Prince Rémy de Bourbon Parme. Le Prince Louis, empêché par ses études n’avait pu être présent. Nous avons appris, après coup, qu’il est venu se recueillir et déposer une gerbe sur notre, stèle……(. invité par le Président du Conseil Général pour assister au départ d’une épreuve du Tour de France )….. L’A.R.L.V. n’ayant même pas été prévenu de la venue du Prince sur son terrain !!! 

 

 

 

 

Il est vrai que Monsieur Philippe de Villiers a toujours refusé de rencontrer le président du C.R.L. 93, Monsieur Henri Rochereau, ancien ministre !!! C’est donc sans aucune subvention, ni aide quelconque que cette grande manifestation a été organisée.       Que de difficultés également pour l’organisation de l’office religieux : Rome était disposé à déléguer un Cardinal, S.E.R.le Cardinal Silvio Oddi pour cette importante célébration, mais l’évêque s’y est opposé ! Un compromis, à la suite de tractations réalisées par des intermédiaires et non par les organisateurs, a finalement permis de trouver une solution…à peu près satisfaisante. ( Mgr Garnier écrivait à Monsieur Henri Rochereau le 10 mai 1993 :  «  à titre exceptionnel et seulement  pour ce 22 Mai 93, j’ai décidé d’accorder l’Indult d’Octobre 1984 et la possibilité d’utiliser le rituel de la messe du Missel Romain de 1962. »                            

 

La chorale " Una Voce " animait l’office religieux. Le " Chœur Montjoie ", " Les Joyeux Vendéens du Boupère ", " Le Bouquet d’Ajoncs " de Bois de Céné, Patrice et Roger Martineau, notre conteur Jean Brochard, les Scouts de Riaumont… etc. animaient l’après-midi et la soirée. De très nombreux stands, dont Chiré- en- Montreuil, étaient disposés sur les hectares de la colline, mis à notre disposition par la famille Godard.

 

La Mairie des Herbiers, en la personne de son maire, Madame Jeanne Briand, nous a particulièrement aidés et nous avons eu le concours de la Préfecture, la Gendarmerie Nationale, la D.D.E., la Croix-Rouge française, le SAMU etc.…..

 

Ce fut une très grande manifestation, complètement occultée par les médias, si ce n’est que quelques articles railleurs et qui restera à toujours gravée dans la mémoire de ce haut lieu symbolique avec  ce seul monument de Vendée  dédié au Roi Louis XVI.

 

 

 

v Le 18 février 1994, le Conseil Général de la Vendée a acquis les 33 hectares de terrain situés sur le versant est et a aménagé le coteau et ses abords ( sentiers pédestres et cyclables) redisons le de ce haut lieu chargé d’histoire et qui est l’un des plus beau de Vendée, offrant un panorama extraordinaire. Quelques 50.000 personnes par an s’arrêtent au Mont des Alouettes et en période de pointe il y passe plus de 20.000 véhicules par jour. Le Conseil Général, la mairie, le meunier, l’office du Tourisme associé au service animation jeunesse ( S.A.J.) proposent durant tout l’été une série d’animation……… Ne serait-il pas temps de se manifester… ?. D’autant que tous les visiteurs pensent que notre stèle appartient au Département.

 

Jacques Rouillon

 

 

 

Références bibliographiques : Jean Lagniau du Souvenir Vendéen

 

  Eugen Weber  " L’Action Française "

 

   Archives Départementales de la Vendée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                      

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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31 août 2005 3 31 /08 /août /2005 23:00

.... Suite de l'entretien avec le Duc d'Anjou.

Quand projetez-vous de reprendre votre activité en France?

Définir les dates ne dépend pas de moi. On me présente un projet d'activités officielles chaque années, j'étudie la viabilité de ce programme et, suivant mon agenda, quelque chose se réalise.

Probablement, ce sera maintenant au mois de septembre ou octobre, car, en été, la vie officielle s'arrête passablement. Il se peut que je me rende en septembre à la commémoration de la fondation des Invalides, oeuvre de mon ancêtre Louis XIV.

Ces propos sont très rassurants et contredisent certains ragots lancés volontairement.....  

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30 août 2005 2 30 /08 /août /2005 23:00

Dernièrement le Duc d'Anjou a répondu à des journalistes et on lui a posé la question suivante:

Après votre mariage, pensez-vous poursuivre votre activité dynastique en France en tant que duc d'Anjou?

Bien sûr, je continuerai à assurer les mêmes devoirs qu'auparavant. Ce qui s'est passé est que, à cause de mon mariage, du voyage de noces et du changement de pays, j'ai pris du temps pour m'adapter à ma nouvelle vie au Vénézuéla.

De mon père, j'ai hérité les droits au trône de France, un héritage historique et culturel que je considère comme très important, et qui me donne des obligations que je tiens à assumer.

Et, il est clair qu'à l'avenir ma femme, Marguerite m'accompagnera.

à suivre......

 

 
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